Cette année, un des projets des étudiants en GEA de l’IUT de Rodez consiste à promouvoir leur filière. Aurore, Lucas, Maïlys, Pauline et Sofian donnent plus de détails.
La filière Gestion des Entreprises et des Administrations de l’IUT de Rodez forme des professionnels de la gestion, aussi bien en interne qu’en externe. Le DUT étant un diplôme professionnalisant, c’est dès le début de la seconde année qu’interviennent les projets tutorés. Ils permettent une mise en pratique des connaissances et des compétences acquises durant les deux années de formation, en réponse à une réelle demande. Ces projets, effectués dans le cadre scolaire, concernent toutes les filières de l’IUT de Rodez et ainsi tous les étudiants en intègrent un. La durée et les thématiques abordées sont propres aux formations.
Aurore, Lucas, Maïlys, Pauline et Sofian ont choisi le projet “Communication GEA” par rapport à leurs éventuelles poursuites d’études. L’un d’entre-eux souhaite être responsable marketing et communication dans le sport, ou un autre travailler dans le management et le marketing d’un hôtel. Ils y voient aussi un moyen de développer leurs capacités à l’oral. Ils confient : “Pour nous tous, communication GEA était notre premier choix.”
Ce projet, commandité par le responsable du département GEA, consiste à promouvoir leur filière. Lucas explique : ‘Il faut mettre en avant la formation à Rodez pour attirer de nouveaux élèves, sans faire de concurrence déloyale aux autres antennes,”. Ils vont ainsi intervenir dans les Lycées, prendre le contrôle des réseaux sociaux, participer à des forums, etc.
Ce groupe de projet ne dispose pas de chef de projet et se base sur un fonctionnement où tout le monde se met d’accord. Il n’y a donc pas de leader. Ils se répartissent les tâches et cela marche plutôt bien. “ Nous fonctionnons par démocratie” plaisante Sofian.
Ce projet leur prend énormément de temps. Ils y consacrent tous leurs jeudis, soit deux à trois heures par semaine en groupe. Leur professeur leur a confié que pour que ce projet soit abouti, 300 heures de travail sont nécessaires.
Même si cela ne fait que quelques semaines que le projet a débuté, ils ont déjà commencé à effectuer des tâches. Maïlys confie : “Pour attirer les potentiels étudiants, on a élaboré un graphique indiquant les poursuites d’études et/ou d’emplois des anciens étudiants.” Ils programment également les prochaines publications et préparent leurs argumentaires, notamment pour le forum auquel ils participeront le 5 novembre. Le groupe d’étudiants a aussi prévu de participer au salon INFOSUP à Toulouse.
Ambre Maillavin et Céline Castan
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